Après Bernard Millet, c'est au tour de Bruno Coffy. Je leur souhaite d'ailleurs à tous les deux un bon rétablissement.
Finalement, l'enduro, c'est peut-être bien encore plus dangereux que la descente.
Je m'explique :
-en enduro, le but est de parcourir le plus vite posssible des parcours à profils descendants et la plupart du temps sans aucune reconnaissance préalable avec en plus des protections corporelles "légères" et pas de protections sur les arbres ou les rochers.
-en descente, le but est le même, mais le parcours est reconnu généralement au moins une journée avant la course. Les arbres et les rochers qui peuvent comporter un grand danger sont protégés par des matelas et les protections corporelles, elles, sont bien plus efficaces.
Voilà ma vision des choses...